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mercredi 21 janvier 2009

Obama Sarkozy : le complexe du Corn Flex

Suite aux 5 heures consécutives hier à bouffer du Obama plus que de raison - un peu comme le chocolat qu'on reçoit à Noël ou à Paques - la crise de foie guettais. J'avais donc dans l'intention de faire un petit billet là dessus. Sur son intronisation, son discours, les futurs déceptions qu'il soulève... etc. Bref, tout le bazar habituel.


Mais en regardant le discours d'intronisation d'Obama, je ne pouvais m'empêcher de comparer Obama et Sarkozy et de me remémorer cette triste soirée du 7 mai 2007. Avouer que ça a quand même une autre gueule Obama président que Sarkozy. Ce qui n'aura d'ailleurs pas échappé à Nicolas Canteloup (par l'intermédiaire de Mr. De Villepin) ce matin (vers la 2ème minutes pour les pressé). Mais la comparaison reste douloureuse même si l'on oublis la simple prestance pour s'intéresser aux discours en lui-même. Dans un souci d'exactitude, j'ai regarder pour vous la vidéo du discours de victoire de Sarkozy le 7 mai au soir devant son part terre de fans (autant dire deux pauv' glandu comparé aux 2 millions qui s'étaient déplacé à Washington hier - Cf la photo ci dessous) - vous imaginez d'ailleurs au passage l'effort surhumain que cela m'a demandé.


J'en profite aussi pour tout de suite faire taire les détracteurs - c'est à dire, principalement manchot - Je compare un discours d'investiture et un discours de victoire. Autant dire deux choses pas comparables en toute rigueur. J'ai donc regarder les deux discours - voir plus haut pour la douleur physico-mentale engendrée par cela - histoire de comparer ce qui est comparable. Mais le discours de victoire du nabot me paraissait plus parlant - surtout que les deux discours se ressemble beaucoup tant sur la forme que sur le fond.


La chose qui m'a le plus frappé dans le discours d'Obama - concernant la forme - c'était l'absence - ou du moins la faible fréquence - du mot JE. C'est fou comme ça peut choquer un président qui ne répète pas JE toute les 10 secondes dans un discours ( toute les 13 secondes dans le dit discours de Sarko pour être précis - j'ai compté 41 JE et 4 MOI en 9 min (comme quoi les cours de Français de seconde était quand même utile à quelque chose...) quand on "habite en France"/ "qu'on à plus l'habitude" (rayer la mention inutile).
Pour le reste je vous épargnerais les poncifs habituels avec lesquels on vous a et on va vous bassiner hier et dans les prochains temps genre "il est trop génial" ou "oaui mais bon c'est un homme, c'est pas le messie non plus" ou encore le fameux "la désillusion sera proportionelle à l'espoir engendré" ou le plus féminin "il est tellement beauuuuuu". Tout ça vous le savez déjà. Pas besoin de votre urbessois pour ces fadaises.
Au moment de réfléchir à ce billet je cherchais un angle pas ou peu retenue par les autres. Toujours être là où l'on ne vous attends pas n'est-ce pas... J'avais donc pensé à une comparaison avec le nain. Mais comme tout les jours lorsque je me connecte pour checker mes mails et autre petite revue de presse je regarde la chronique de Stéphane Guillon sur Inter (oulala les coulisses de l'urbifactory c'est glamour dis donc) Et celle d'aujourd'hui est en gros - et surtout en mieux - ce que je comptais vous proposer. Je me tais et laisse donc place au maître.
Merci pour lui!

lundi 8 septembre 2008

Après la sortie...

Il ne vous aura pas échappé, que ça y est, c'est la rentrée. Enfin pour la plupart d'entre vous, parce qu'il subsiste toujours des irréductibles à qui il reste encore deux ou trois grosses semaines de grasses matinées; suivez mon regard...
Mais passons sur ces "mécréants" et concentrons nous sur ce que nous apporte cette rentrée - à part le retour à la routine et autres emmerdements bien entendu.
Ah oui, j'avais failli oublier. Ne vous en faites pas trop, je ne compte pas faire un billet de plus sur "Ma rentrée des classes" et autres billets que nous ne lécherons pas - car, cela va de soi, ils sont toxiques. Non, d'une manière un peu futile - et poussé par certain(e) à publier quelque chose au plus vite ; à croire que j'ai des lecteurs, vous vous rendez compte??? - je vais vous parler de toutes ces émissions et programmes télé/radio qui sont de retour - pour mon plus grand bonheur je dois bien vous l'avouez - après de longs mois de disparitions ou de vulgaires rediffusions.
Pour commencer - parce qu'il faut bien commencer par quelque chose - on va prendre les Guignols de l'info ( en plus, c'est un de leur sketch qui m'a donné l'idée de ce que vous êtes en train de lire ; alors rendons à César ce qui lui appartient...). En effet, depuis la semaine dernière, ces joyeux voyous en latex sont de retour pour le plus grand bonheur des petits et des grands - et le plus grand malheur de toute la "SarkoFrance", mais ça, c'est pas vraiment grave n'est-ce pas? - avec leurs critiques acerbes de toutes les incohérences et les petits ( ou gros ) travers de nos chers politiques et autres hommes d'influences. Ils m'avaient vraiment manqué pendant les vacances. Mais heureusement pour eux - et surtout pour nous - l'actualité en cette rentrée est plus que riche. Bref, ils ont largement de quoi s'amuser. Un petit exemple avec la vidéo qui suit.

Bel exemple de leur habileté à surfer sur les tendances de ces derniers mois je trouve.
Mais il n'y a pas que les Guignols qui profitent de l'actualité pour nous faire marrer. Pour cela, il suffit de changer de média, et de d'allumer votre radio (ou d'aller ici, si comme moi, à 8h45 vous avez autre chose à faire que de coller l'oreille à votre transistor). Je parle bien entendu de Nicolas Canteloup (et oui, j'écoute Europe, ça m'arrive...). Nan, mais sérieux, ce mec me fait souvent bien marrer, et j'attends chaque soir avec impatience de pouvoir le réécouter sur mon p'tit ordi en mangeant mes pâtes. Et puis, Canteloup, c'est quand même un autre niveau que Gerra (qui lui aussi a sa chronique quotidienne mais sur RTL) qui lui est toujours sous le niveau de la ceinture et toujours avec ses mêmes vieilles voix. Alors que Canteloup, des voix ils en a à foison, avec de nouvelles qui apparaissent assez souvent de manière à toujours pouvoir collé aux mieux à l'actu. Et contrairement à Gerra, je le trouve drôle - mais cet avis n'est qu'un jugement personnel.
Pour continuer avec une émission de RTL, que, celle-là, je manque rarement, c'est "On refait le monde" le soir, à partir de 19h15, avec Nicolas Poincaré. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s'agit d'une émission où chaque soir, 4 polémistes (journalistes, écrivains, ...) analysent et décryptent l'actualité. Et le tout, sans langues de bois. Bref, pas besoin de vous faire un dessin, j'adore.
Pour rester dans le monde de la radio, je ne peux omettre de vous parler de l'émission avec laquelle je me réveille chaque dimanche matin : Panique au Mangin Palace, de et avec Philippe Colin à l'intérieur. L'émission qui symbolise à elle seule le pourquoi j'écoute Inter.
Je crois que je vais m'arrêter là pour aujourd'hui. C'est déjà pas mal je trouve. Mais comme je ne peux me résoudre à vous laisser comme ça, presque sur votre faim - si si, j'y crois à ce que j'écris ... - je met un petit bonus track, en vue (certainement) d'un prochain article sur un site de streaming vachement bien fichu qui figure dans mes favoris depuis peu ( on dit un grand merci au numéro 3 de Volume - page 22 même, si vous voulez vraiment tout savoir ; comment ça vous ne vouliez pas savoir?... ). Il s'agit de Fairtilizer. Mais, vous me connaissez, malgré mes développements pseudo philosophiques sur le fait que le choix rendait libre, comme je n'arrivais pas à me décider sur le morceau que j'allais utiliser pour illustrer cette fin, je vous en mets deux. Pour les fans d'électro: un remix des Kills par SebastiAn (de la team Ed Banger). Et pour ceux qui préfère de la pop/folk indie : Sleepy Tigers des Her Space Holiday.



Have fun Folks